Moussa Maïga, chauffeur d’une ONG, ne pensait pas que lui, simple citoyen, pouvait être victime de JNIM. Sa vie allait basculer une après-midi d’Avril 2022. Il rejoignait la longue liste de kidnappés des djihadistes. Contrairement à d’autres otages, plus illustres, son calvaire allait se passer dans l’anonymat.